
Pour la violoncelliste Noémie Raymond-Friset, la musique est une affaire autant de cœur que de technique. Pour elle, son instrument est un moyen de tisser des liens profonds avec des collaborateurs, des publics et même des communautés éloignées. Née de parents mélomanes qui l’ont bercée de suites de Bach, Raymond-Friset a commencé le violon à l’âge de quatre ans. Trois ans plus tard, c’est le violoncelle qui l’interpelle. « J’ai trouvé mon instrument, se souvient-elle. Quelque chose dans la tonalité, le son et le registre me parlait vraiment. » Au début de sa carrière, des mentors comme les super vedettes du violon…